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Johannes Brahms (1833-1897) Ein deutsches Requiem (1868)

Coge (1997)

​PRÉSENTATION

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À l’inverse de Mozart, Fauré ou Verdi, Brahms refuse de recourir aux textes catholiques romains ou protestants.

Entièrement chorale, la première partie, assez lent et avec expression, reprend d’abord en teinte sombre le Sermon sur la montagne, « Heureux les affligés », tandis que le second volet, éclaire le propos : « Ceux qui sèment dans les larmes moissonneront dans l’allégresse ». Retour à un climat tendu dans le dernier volet, « Celui qui marche en pleurant », où la harpe vient distiller une petite lueur d’espoir

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Sébastien Billard

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Herr, lehre doch mich - Pierre-Yves Pruvot
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Denn wir haben keine - Pierre-Yves Pruvot
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Brigitte Lafon, soprano

Pierre-Yves Pruvot, baryton

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Chœur et orchestre des grandes écoles

Sébastien Billard, direction musicale

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