Fromenthal Halévy (1799-1862) • Charles VI (1843)

« Eh ! bien, puisque les morts au plaisir sont rebelles… »

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Camille Saint-Saëns (1835-1921) • Henry VIII (1883)

« Ô mon maître et seigneur… »

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Jules Massenet (1842-1912) • Ève (1875)

« Homme, tu n’es plus seul… »

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Charles Gounod (1818-1893) • Polyeucte (1878)

« Pauline ! Dieux !… Sévère !… »

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Émile Paladilhe (1844-1926) • Patrie ! (1886)

« Ah ! Maintenant à moi !… »

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Ambroise Thomas (1811-1896) • Le Caïd (1849)

« Ciel ! Vous chantiez à l’instant fort bien… »

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Jules Massenet (1842-1912) • Le Mage (1891)

« Ah ! Comme ils déchirent mon cœur… »

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PRÉSENTATION

 

Paris est, au XIXe siècle, la capitale culturelle de l’Europe. Cela est également vrai dans le domaine de la musique, lui-même complètement dominé par l’opéra, la musique instrumentale (symphonies, musique de chambre, concertos) étant globalement à cette époque un genre secondaire. Les plus grands compositeurs lyriques, français bien sûr, mais également italiens et allemands – que l’on pense à Rossini, Verdi, Wagner, Meyerbeer ou Offenbach – viennent y chercher la consécration. La bourgeoisie donne le ton : elle a, en quelques dizaines d’années, consolidé la place qu’elle avait gagnée après la révolution française de 1789 au détriment de l’aristocratie. L’opéra, spectacle complet en même temps qu’événement social et mondain incontournable, lui doit sa prospérité.

 

Didier Talpain

REVUE DE PRESSE

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« Il serait néanmoins injuste de négliger pour autant les mérites d’un baryton à la diction et au style impeccables, à l’aise du haut en bas de la tessiture, à qui les rôles nobles vont comme un gant, mais qui sait s’encanailler avec un personnage comme Michel dans Le Caïd. »

 

Laurent Bury • www.forumopera.com • 21/03/2012

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