​PRÉSENTATION

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Stylistiquement, l’œuvre est proche de Donizetti et de Rossini. Les ensembles utilisent les techniques éprouvées depuis Il Matrimonio segreto de Cimarosa (1792) : voix haute en valeurs longues avec un contrepoint d’une voix grave en valeurs brèves (cf. l’introduction plage 1 ou le duo Bettina/Don Procopio plage 8), unisson de tous les solistes sur une nuance piano avec un accompagnement mécanique de cordes jouant saltato… ; les airs (il n’y en a que deux dans un ouvrage qui fait la part belle aux ensembles) se conforment, eux, rigoureusement aux canons de l’époque.

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Didier Talpain

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